La carivari

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Introduction

Lorsque qu’un veuf (viuse) ou une veuve (viusa) se remariait, la jeunesse organisait de bruyants carivaris ou carvalins. Cette tradition offensante avait pour but de faire entendre le désaccord supposé du défunt ou de la défunte. Le charivari s’arrêtait quand les futurs mariés payaient à boire aux perturbateurs.

Ethnotexte

Henriette CARRIÉ

née Fau en 1935 à Rodez.

Transcription

Occitan
Français

« Quand n’i aviá un que se tornava maridar pel segond còp, fasián carivari. Aquò tindava ! Tant que aquelses que se maridavan avián pas pagat un còp per biure, arrestavan pas. »

« Quand il y en avait un qui se mariait pour la seconde fois, ils faisaient charivari. Ça sonnait ! Tant que ceux qui se mariaient n’avaient pas payé un coup à boire, ils n’arrêtaient pas. »

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