La sopa de sèrp

Collecté en 1998 par IOA Sur la Commune de Gramond Voir sur la carte
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Introduction

Face à la maladie, les anciens disposaient d’un ensemble de remèdes empiriques dont certains devaient être d’une efficacité toute relative si l’on en juge par l’important taux de mortalité. 

Dans un contexte économique difficile, on n'appelait le médecin qu’en dernier recours.

On avait au jardin les plantes médicinales de première nécessité : lys blanc, menthe, arnica, millepertuis… 

On faisait aussi souvent appel à des guérisseurs.

La peau ou la chair des serpents (sèrps) était souvent utilisée pour lutter contre une multitude de pathologies, notamment les douleurs abdominales ou les maladies de peau.

Ethnotexte

Elie FALIÈRE

né en 1933 à La Galdeyrie de Gramond, décédé en 2014.

Transcription

Occitan
Français

« Quand tuavan una sèrp, l’escorgavan, la salavan e la fasián secar. Disián que aquò fasiá pel mal de ventre. »

Pas de traduction pour le moment.

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Localisation

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