La ràbia

Collecté en 1996 par IOA Sur la Commune de Lacroix-Barrez Voir sur la carte
J'apporte des précisions ou
je demande la traduction >

Introduction

Face à la maladie, les anciens disposaient d’un ensemble de remèdes empiriques dont certains devaient être d’une efficacité toute relative si l’on en juge par l’important taux de mortalité.

Dans un contexte économique difficile, on n'appelait le médecin qu’en dernier recours.

La fréquentation des guérisseurs et rebouteux n’a jamais cessé, aussi bien en milieu urbain qu’en milieu rural. Les récits d’expérience de bénéficiaires de soins sont nombreux.

La grand-mère de Marie s'était faite mordre (agafar, gafar) par un chien enragé (can enrabiat). On l'emmena voir une guérisseuse à Montsalvy, dans le Cantal.

En occitan, la rage se dit ràbia.

Ethnotexte

Marie COMBY

née en 1924 à Paris.

Transcription

Occitan
Français
« Quand èra pichona, ma grand-maire s’èra facha gafar per un can enratjat. Anèron a Mont-Sauvi, ieu crese, atí i aviá una femna que garissiá de la ratja. I faguèt manjar una pascada e, pardí, gariguèt amai qu’èra pichona. »

Pas de traduction pour le moment.

© Tous droits réservés Institut occitan de l'Aveyron

Localisation

Vous aimerez aussi...

En cours de chargement...