Lo carvalin

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Introduction

Lorsque qu’un veuf (viuse) ou une veuve (viusa) se remariait, la jeunesse organisait de bruyants carivaris ou carvalins. Cette tradition offensante avait pour but de faire entendre le désaccord supposé du défunt ou de la défunte. Le charivari s’arrêtait quand les futurs mariés payaient à boire aux perturbateurs.

Ethnotexte

Marie-Louise GIRBAL

née Lacaze en 1922 à La Guiraldie du Cayrol, décédée en 2015.

Transcription

Occitan
Français

« Quand un vius se tornava maridar, la joinessa li fasiá carvalin. Quant trabalh menavan ! Tota la nuèch, caliá que lor dubriguèsson la pòrta per lor far beure un còp. Se s’inquietavan, aquò petava. »

« Quand un veuf se remariait, la jeunesse lui faisait charivari. Quel travail ils menaient ! Toute la nuit, il fallait qu’ils leur ouvrent la porte pour leur faire boire un coup. S’ils s’énervaient, ça pétait. »

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