La bolhida del pòrc

Collecté en 1997 par IOA Sur la Commune de Montjaux Voir sur la carte
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Introduction

Les propriétaires de truies vendaient les porcelets sur les foires (fièiras) à ceux qui souhaitaient en engraisser. Ils ne conservaient que ce qui leur était nécessaire pour leur consommation et renouveler la truie que l’on tuait. On vendait également des porcs gras.
Il fallait des porcs très gras car la chair était plus savoureuse, le lard était utilisé pour la soupe et la graisse remplaçait l’huile dans la cuisine. On les engraissait avec des bouillies (bolhidas), des raves (rabas), des pommes de terre (trufas, patanons), des châtaignes (castanhas), des glands (aglands), de la farine et toutes sortes de verdures.

Ethnotexte

Georges LAFON

né en 1921 à Montjaux.

Transcription

Occitan
Français
« Lor balhàvem de bledas, de rabatasses, de trufas, de castanhas...
Fasiam còire las bolhidas al fuòc dins una coireta o una ola, un topin.
Los crompàvem sovent l’annada de dabans, lo mes de novembre, e los gardàvem jusca l’annada d’après. Los vendiam lo mes de janvièr o febrièr de l’annada d’après. Atanben pesavan 200, 220, 230 quilòs. »

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