La bolhida dels pòrcs

Collecté en 1999 par IOA Sur les Communes de Morlhon-le-Haut, Vabre-Tizac Voir sur la carte
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Introduction

Les propriétaires de truies (truèjas, trèjas, maura) vendaient les porcelets (tessons, porcèls) sur les foires à ceux qui souhaitaient en engraisser. Ils conservaient ce qui leur était nécessaire pour leur consommation et pour renouveler la truie que l’on tuait. On vendait également des porcs gras. 

Jadis, il fallait des porcs très gras car la chair était plus savoureuse, le lard était utilisé pour la soupe et la graisse remplaçait l’huile dans la cuisine. 

On les engraissait avec des bouillies (bolhidas) de betteraves (bledas), de choux (caulets), de pommes de terre (patanons), de farine et toutes sortes de verdures, mais aussi avec des châtaignes (castanhas), des glands (aglands)

On conduisait même les porcs dans les châtaigneraies, après la récolte, ou dans les bois de chênes (garrics) pour qu'ils mangent les glands.

Ethnotexte

Jacqueline ALAUX

née Mazières en 1939 au Puech de Peyrottes de Morlhon.

Transcription

Occitan
Français
« Lor donàvem mème de pomas, mème quand aquò se perissiá, de patanons…
Fasiam còire aquò dins lo fornet. Mès de dabans, fasián còire aquò dins una ola. »

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