Per ma fe, disiá la mameta…

Collecté en 1997 Sur les Communes de Prades de Salars, St-Beauzély Voir sur la carte
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Introduction

Lorsqu'un veuf (viuse) ou une veuve (viusa) se remariait, on organisait de bruyants charivaris (caravalins, carvalins, carivaris, charivaris…) qui sont encore dans les mémoires.

Cette tradition offensante avait pour but de faire entendre le désaccord supposé du défunt ou de la défunte.

Des chansons étaient écrites pour la circonstance.

Celle-ci se chante sur l'air de "La Paimpolaise", de Théodore Botrel (1895).

Son

René IZARD

né en 1923 à Prades de Salars.

Transcription

Occitan
Français
« Per ma fe disiá la mameta,
Aquò n’es un brave enfanton,
Amai que siasca la trosièma,
Farà lo bonur del tanton.

Venètz enfants de La Valeta,
De Fraissinhas e de Canet,
Venètz pel travèrs de La Combeta,
Pel Camp-Grand e pels campets
Sèm totes aquí, pel charivari.

Per ma fe disiá la mameta,
Aquò n’es un brave enfanton,
Amai que siasca la trosièma,
Farà lo bonur del tanton. »

Pas de traduction pour le moment.

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