La bòria

Collecté en 1999 par IOA Sur la Commune de Vabre-Tizac Voir sur la carte
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Introduction

À côté de quelques grands domaines et d’exploitations moyennes, il y avait autrefois un grand nombre de petits paysans qui vivaient en polyculture sur des propriétés morcelées. Ce morcellement était dû en partie aux aléas successoraux et aux opportunités d’acquisition, mais également au souci d’utiliser au mieux la diversité des terroirs en fonction de la nature des sols et de leur exposition. 

Autour d’une dizaine d’hectares, une ferme (bòria) pouvait être viable s’il y avait un équilibre entre le nombre de bras au travail et le nombre de bouches à nourrir. Les anciens et les enfants participaient à l’effort de production.

Sur le Ségala, le châtaignier (castanhièr) avait, pendant le XIXe siècle, remplacé les landes des puègs qui servaient de parcours aux troupeaux de moutons. Il céda à son tour sa place aux cultures céréalières et fourragères au début du XXe siècle.

Ethnotexte

Roger BROS

né en 1927 à Vabre-Tizac.

Transcription

Occitan
Français
« Lo pepè e la memè venguèron aicí [Vabre] en 1895 sus sièis ectaras de tèrra e aquò èra pas que de ginèsses e de bruga. N’alucavan lo fuòc e se caufavan amb aquò. A mesura, plantèron de bartasses de boissons. »

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