Cantar per far dançar
Introduction
Les veillées au coin du feu (al canton) permettaient de se retrouver en famille, souvent avec des voisins, de se divertir avec des chants, des contes, des jeux et des danses, tout en effectuant de petits travaux. En parlant, on bâtissait des paniers ou des corbeilles en paille (palhassas), on fabriquait des balais en bouleau (beç), on filait…
Faute de musiciens, on faisait danser à la voix en interprétant des pots-pourris, en chantant “al tra-la-la” ou en utilisant des objets du quotidien (peigne, bouteille et cuillères…).
Les gongolhas ou esquilons sont des grelots.
Ethnotexte
Louise BONATERRE
née Blanc en 1912 au Crouzet de Verrières.
Transcription
Occitan
Français
N’aviam un que fasiá de musica ambe de gongolhas al pè e cantava. S’apelava Francas. »
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