Quand i aviá un mòrt
Introduction
Quand quelqu'un disparaissait, on sonnait le glas (clas ou finida) et, dans certains secteurs du département, la sonnerie n'était pas la même pour un homme, une femme ou un enfant.
À la maison, on respectait quelques traditions : arrêter la pendule, fermer les volets, mettre un crêpe aux ruches, veiller le mort…
Famille, voisins et amis venaient signer le mort avec de l'eau bénite (aiga benesida) et le laurier des Rameaux (Rampalms).
Ethnotexte
Transcription
Occitan
Français
« Se quauqu’un veniá a morir metián una candèla benesida sus la taula de nuèch ambe la crotz e lo veire ambe l’aiga benesida e lo laurièr. »
Pas de traduction pour le moment.
© Tous droits réservés Institut occitan de l'Aveyron
Localisation
Vous aimerez aussi...
En cours de chargement...